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lung von einer décodification gekennzeichnet ist.142 Der wachsende Bedarf der Rechtsordnung an Detailbestimmungen macht die Gesetze immer mehr abgegrenzt und spezialisiert. Dies gilt besonders für le droit commercial, wo z.B. Handelsbrauch, Geschäftssitte zwischen Partnern undVerhaltenskodizes (dieser “Kuhhandel zwischen flüchtigen Sonderinteressen“) die Schaffung einer Gesamtheit, die eine Kodifikation auszeichnet, erschwert. Oppetit zitiert mit Vorliebe die Rechtswissenschaftler, die meinen, dass die Kodifikation immer noch ein unübertrefflicherWeg zu Permanenz, Einheit und nicht zuletzt allgemeiner Kenntnis der Rechtsordnung ist.143 Wie Atias meint Oppetit, dass das Hauptproblem darin liegt, welches Abstraktionsniveau dieVerfasser einer Kodifikation wählen sollen. Übertriebene Einzelregulierung führt dazu, dass Gesetze inaktuell werden, sobald sie erlassen sind. Unzureichende Detailregulierung führt andererseits dazu, dass die Rechtsanwendung, “das Gebären von Unsicherheit”, einen zu großen Einfluss bekommt.144 Zusammenfassend scheint das Hauptproblem in “schlechter” Gesetzgebung und übertriebener Detailregulierung zu liegen. Der Gesetzgeber flickt und repariert, vernachlässigt jedoch den systematischen Zusammenr i c h a r d n o r d q u i s t 204 142 “...la codification suppose une certaine permanence des règles, ainsi que leur aptitude à régir ... un nombre indéterminé de situations ; or, le droit moderne se compose désormais d’une myriade de lois spéciales et catégorielles, changeantes car résultant de compromis fragiles entre intérêts antagonistes des groupes sociaux ou économiques : ces textes prétendent s’ériger en innombrables micro-systèmes autonomes...”, Oppetit, supra n. 13, s. 35. 143 “... d’autres voix [ont fait] valoir les bienfaits de la codification. ...au rôle social et politique de la codification ... s’ajoute sa fonction technique, de valeur permanente, qui consiste à assurer l’accès à la connaissance du droit en réunissant les règles dans un ensemble complet, cohérent, divulgué... on souligne même que ce souci de remédier à l’excessif morcellement des sources du droit est fondamentalement lié au concept de code tel qu’il s’est developpé dans la tradition romaine puis en Europe occidentale...”, B. Oppetit, L’expérience française de codification en matière commerciale, Rec. Dalloz, (1990) 1er cahier, chron., s. 4. 144 “...peut-être serait-il préférable de n’y faire figurer que les principes généraux gouvernant la matière. Les arguments ne manquent pas en faveur de cette méthode: elle offre plus de chances de pérennité aux règles posées ... inversement, on lui objecte son manque d’utilité pratique et le risque de déboucher sur une interprétation judicaire trop libre, elle-même génératrice d’insécurité.”, s. 5.

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