AlfredDufour 104 principes du bien et du mal et les fondements sur lesquels la société dont il fait partie est établie“.^^ Amlobendsten äussert sich aber Montesquieu in posthumveröffentlichten Gedanken iiber den „Esprit des Lois“: „Je rends grace a MM. Grotius et Pufendorf d’avoir execute ce qu'une grande partie de cet ouvrage demandait de moi, avec cette hauteur de genie a laquelle je n’aurais pu atteindre.“ Das hohe Ansehen, das Pufendorf zwischen Ende des 17. und Ende des 18. Jahrhunderts geniesst, spiegelt sich auch bei Vertretern der schönen Literatur wider: so bei Jean Le Clerc und bei Denis Diderot. Jean Le Clerc, der Herausgeber der beriihmten „Bibliotheque universelle et historique“, der an der Jahrhundertwende unter demTitel „Parrhasiana“ Gedanken veröffentlicht „sur la nécessité et sur la maniere d’etudier pour les personnes qui ne font pas profession de lettres“‘*^, fällt zum Beispiel in diesemWerk folgendes Werturteil iiber Pufendorf: ..Les livres d'Hugues Grotius du Droit de la Guerre et de la Paix et celui de Samuel Pufendorf, intitule du Devoir de Vhomme et du citoyen, sont admirables pour les principes généraux. Le second, principalement, qui est le plus court, établit, avec beaucoup de netteté et d’ordre, les fondements de la Morale, de la Politique et de la Jurisprudence. Si on le lit avec soin, on y trouvera des principes suffisants pour résoudre la plupart des questions principals que Von agite dans ces Sciences." So ebenfalls Rousseaus wohlbekannter Freund Denis Diderot. Dieser beschrankt sich nicht darauf — wie von Herrn Professor Thieme sehr schön angefuhrt wurde — Pufendorf in seiner Novelle „Le Neveu de Rameau“ als „Klassiker der Rechtswissenschaft“ zu erwähnen^^, sondern er verpflichtet in seinem „Plan einer Universität fiir die russische Regierung“ aus dem Jahre 1775 die Studenten zur Lektiire der französischen Ubersetzung des „De officio hominis et civis" fiir das Studium der Moral und des Naturrechts.^^ Vgl. J. J. Rousseau, Projet pour [’Education de M. de Sainte-Marie, Oeuvres completes de J. J. Rousseau, Paris 1824, Bd. 10, S. 50. ‘’® Vgl. Montesquieu, Pensees et Fragments, Bordeaux 1899, No 191, S. 99—100. Vgl. J. Le Clerc, Pensees sur la nécessité et sur la maniere d’étudier pour les personnes qui ne font pas profession de Lettres, in Parrhasiana ou Pensées diverses sur des Matieres de critique, d’histoire, de morale et de politique, par Theodore Parrhase, 2 Bde, Amsterdam, 1699—1701, Bd. 2, S. 73 ff. « Vgl. Op.cit., Bd. 2, S. 117—118. Vgl. Diderot, Le Neveu de Rameau (1761—1774), Oeuvres, éd. Pléiade, Paris 1951, S. 461: „—J’ai étudié des lois, et je suis versé dans le droit. —Si Puffendorf et Grotius revenaient au monde. Us mourraient de faimcontre une borne." Vgl. Diderot, Plan d’une Université pour le Gouvernement de Russie, Oeuvres completes de Diderot, éd. J. Assezat, Bd. 3, Paris 1875, S. 492. 39
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